Il n’est que trop évident que cette croissance, financée par la dette, ne peut souffrir de hausses de taux d’intérêt
Un monde sans taux d’intérêt n’empêche personne de dormir, a priori. Lorsqu’on met en garde contre la fin des taux d’intérêt, on nous répond en général «so what?» (puisqu’il n’y a pas de conséquences), ou «debt doesn’t matter» (la nouvelle doxa de l’endettement infini). Seuls les gérants obligataires semblaient contrariés la semaine dernière du retour du Bund à 10 ans en territoire négatif.